L’attaque d’un château

Au Moyen-Age.

 

La société au Moyen-Age est dominée par les seigneurs.

 Le roi est le supérieur de tout les seigneurs : c’est le suzerain et les seigneurs sont ses vassaux.

 

Les artisans et les marchands logeaient dans la cité et les bourgs.

Les paysans, eux, vivaient à l’extérieur des remparts. Tous travaillaient dur pour le seigneur et en échange, il les protégeait.

 

Lorsque le seigneur se sentait menacé par l’ennemi, il organisait la défense de son château avec l’aide de ses chevaliers servants.

 

Les préparatifs des combats

 

Avant l’attaque, il fallait stocker des provisions.

 Les paysans tuaient les animaux et conservaient la viande dans le sol.

Les femmes faisaient des réserves d’eau.

Les hommes d’armes rassemblaient des centaines de flèches et de boulets.

A cheval, le seigneur avec ses chevaliers inspectaient les fortifications.

Sur la tour de guet, les soldats surveillent…

Parfois, à l’approche du combat, des seigneurs voisins venaient aider le seigneur menacé.

Lors des combats, les chevaliers  à cheval sortent se battre devant les murailles.

 

 

Les techniques utilisées au combat

 

v    A l’extérieur  des remparts

 

L’assaut : Les attaquants mettent contre les murailles des échelles pour envahir le château.

 

Le bombardement : on se servait de catapultes qui pouvaient envoyer de 10 à 20 boulets par jour.

 

 

La démolition : on projetait des poutres contres les murs

 

v    Derrière les remparts

 

Les assiégés utilisaient d’autres armes comme :

 

Les tirs d’arbalètes (poids de 8 kg) : les arbalètes se plaçaient entre les jambes des arbalétriers qui tiraient le ressort pour que la flèche soit propulsée. Les flèches peuvent atteindre 300 mètres.

 

 

Les projections légères comme :

 

Les arcs : les archers s’abritaient derrière les archères avec leurs arcs en bois de 1,5 mètre de haut. Ils tirent 6 à 7 flèches par minute qui peuvent atteindre une cible à 100 mètres.

 

Les ruses : les habitants sortaient nombreux du château. Les attaquants fonçaient tous sur eux inutilement. Ils devenaient ainsi de meilleures cibles.